Mes poèmes

Mer du Nord

Heureux moments, en vérité
Que ceux que j'ai là-bas passés
Dans cette ville côtière
J'aimais à contempler la mer

Je me sentais insignifiante
Face aux vagues puissantes
Etrangement, ça m'apaisait
Et j'aimais venir y rêver

Je m'asseyais sur le sol
La ville dans mon dos
Tournant mon regard vers l'eau

Et je laissais mon esprit
Vaguabonder sans soucis
Tel un oiseau qui s'envole

Mots

il est des mots qu'on peut dire
D'autres qu'on peut supposer
Il est des mots dont on peut rire
Et d'autre dont on peut pleurer


Rêve

Je ne suis pas à ma place sur terre
J'envie les oiseaux dans les airs
Je rêve de voler là-haut
Alors que chaque jour mon coeur se fait plus gros
Je préfère de loin mon monde imaginaire
Je suis incapable de garder les pieds sur terre
Je passe des heures dans ce monde imaginé
Mais au réveil je retrouve la triste réalité
La science a tuée la magie
Le rêve ne vient que la nuit


Vacances

Mes doigts courent sur le clavier
Mais mon esprit s'est déjà évadé
Loin de la terne réalité
Vers tous ces mondes imaginés
Par moi ou par d'atres, quelle importance?
Pour mon âme,ce sont des vacances.


Ce n'est pas une vie

Ce n'est pas une vie qu'une vie sur Terre
Ce n'est pas une vie qu'une vie à se taire
Les hommes ont tués l'imaginaires
Les dieux et la magie d'exister cessèrent
Remplacés par une obscure logique
Basée sur des formules scientifiques

Coeur brisé

Coeur brisé ne se recolle pas
Je pensais que tu avais compris au moin cela
Tu as brisé le mien
Toutes les colles du mondes n'y feront rien
Il est brisé, brisé a jamais
Et je ne peux cesser de pleurer


et pour finir, quelques poèmes marchombres:
Noeuds dans l'estomac
Frissons incontrôlables
Angoisse

Crayon qui coure sur le papier
Pensées exprimées
Poèmes



Mots qui dépassent la pensée
Gestes qu'on ne peut que regretter
Amies qui ne veulent plus vous parler



Pourquoi miauler quand on peut rugir?
pourquoi rester quand on peut partir?
pourquoi pleurer quand on peut rire?
pourquoi aimer si c'est pour souffrir?



Qu'est-ce que la vie
si ce n'est une folie?
pourquoi vivre et rire
si a la fin on doit mourir?


Larmes

Larmes d'enfants
Larmes de diamant
Qui coulent à cause des grands
Qui font couler le sang

Larmes de diamants,
Larmes d'enfants,
Qui pleurent leurs parents
Qui baignent dans leur sang


La vie
N'est qu'une folie
Tout le monde le dit
Alors pourquoi
S'accroche-t-on tant à ça?
A cette vie?



L'homme est
un être paradoxal
Et il trouve ça normal
Est-ce que ça l'est?
L'homme se dit intelligent,
Mais l'est-il vraiment?
Toutes ses questions
Sans réponse
Peut-être qu'en jour elles auront
Une réponse...



Je ne suis pas seule,
mais solitaire
Je n'aime ps parler
Je préfère me taire
Je ne suis pas repoussée
Je m'en suis allée
C'est tellement plus facile
Comme un battement de cils
D'écrire
Et de lire
Que de parler
En société




Oui j'ai froids
Ici en bas
J'ai toujours froid ici
Depuis que tu es partie
Dis-moi...
Dis-moi pourquoi...
Pourquoi tu es partie sans moi...
Est-ce que le paradis
C'es mieux que la vie?
Est-ce que là-bas, tout en haut,
Est-ce qu'il fait bien chaud?
Pourquoi...
Pourquoi toi mon amie
Tu as dûe mourir si tôt
Sur cette montagne qui me fait froid dans le dos?
Pourtant je suis venue
Pourtant j'ai attendue
Et puis j'ai appercue
Ton ombre dans les flocons
Et je t'ai vue
Rire comme quand on jouait à saute-mouton
Maintenant je suis rassurée
Et je peux partir l'âme en paix
Rejoindre mon groupe et skier
Mais ne t'en fais pas, je ne pourrais t'oublier
Et chaque année
Sur cette montagne qui m'a pris mon amie, je reviendrais...





"Qu'est-ce que tu fais là,
Tapie dans le froid?"
Parmis les flocons
J'entend un son
Une voix qui me dit
"que fais-tu ici"
"Moi? J'attend quelqu'un
Quelqu'un que j'aime bien"
Mais voilà encore cette voix
Qui me dis cette fois
"Passe donc ton chemin
Tu ne touveras rien"
Comment le sait-elle cette voix
Qui se moque de moi?
Je sais que tu es là,
Que tu ne m'abandonneras pas
Un bruit de moteur
Fait accélérer mon coeur
Une portière s'ouvre, quelau'un
En sort, me jette un regard
Puis disparait dans le noir
Ce n'étais pas encore toi,
Et si elle avait raison, la voix?
Et si tu ne venais pas?
"il ne seras pas là..."
Chuchote la voix dans mon dos
Et ce sont ces mots
Qui m'arrachent des larmes
Chacun m'a blessé comme une rme
Et voilà que je me mets à pleurer
Quand un bruit dans mon dos me fait me retourner
Un bruit de pas
Qui se dirige vers moi
Et je n'y crois pas,
C'est toi, c'est bien toi!
C'est toi qui vient vers moi,
Toi qui me serre dans tes bras
Toi qui me propose, pour me réchauffer,
D'aller quelque part, boire un thé
Et avant de m'éloignr
Je murmure sans y penser
Petite voix qui cherchait à m'embrouiller
On dirait bien que j'ai gagnée!





Alors? des commentaires? vous préférez lesquels, pour le moment? (j'en mettrais d'autre après, mais la limite de caractère m'en empêche^^)

Je crois que je suis amoureuse de tous ! ^^
Mais le dernier, je sais pas, je l'aime beaucoup beaucoup !! ^^

merki^^
en voilà d'autre^^les premiers sont nouveaux, mais les autres sont plus vieux?

Fuite
Il s'envole, il s'enfuit
Et plus jamais il ne rit
Il s'envole, c'est sa vie
Et le voilà qui s'enfuit
Tel un oiseau solitaire
Et acculé par l'hiver
Il file, tel un courant d'air
Loin, très loin de ce désert
Préférant l'imaginaire
A cet horrible calvaire
Il s'envole, il s'enfuit
Car ce qu'il fuit, c'est la vie
Dehors personne ne comprend
Ce que mon esprit ressent


Elle rêvait

Elle rêvait la nuit, elle rêvait le jour
Elle rêvait la vie, elle rêvait toujours
Ele préférait son monde imaginé
Plutôt que cette triste réalité
Qui donc voudrait d'un monde en guerre
Où les hivers succèdent aux déserts
Les adultes ne comprennent pas l'importance
de conserver une part d'enfance


Etoiles

Enfermé dans mes pensées
Mon esprit est mon géôlier
Mon âme souhaiterait s'évader
Mais ne peut que s'incliner

Regarde esprit;
Regarde ma vie;

je suis prisonnière d'un mur de pensées
Comme d'une fortersse imaginée
Pourtant, à choisir, je préfère cela
Dehors les gens ne me comprennent pas

j'ai eu beaucoup de problèmes récemment
Crois-moi ca n'a rien d'amusant
J'ai vu s'éloigner des amis
J'ai été jusqu'à me reprocher ma vie

Il ya des jours où tout s'écroule autour de vous
Comme si me le monde tombait dans un trou

la vie peut être belle, comm elle peut être cruelle
C'est prouvé
Mais tant qu'il restera une étoile dans le ciel
Rien ne sera terminé

Tant qu'il me restera une amie sur Terre
Ou où que ce fut dans l'univers
je ne pourrais pas baisser les bras
Car il restera quelqu'un qui croira en moi




paradis
Tu es morte, ce n'étai pas ton heure
Ce jour-là nous avons plongé dans le malheur
Je me souviens de ce que disait le chauffeur
Il ne t'a pas vu, ne voulait pas que tu meures

Tu courais dans la rue, jouant avec la balle
Tu était pleine de vie mais la mort t'as prise
Si brusquement, je crois, que tu n'as pas eu mal
Dans quelle situation nous as-tu mise?

Tu t'en es allée vers le paradis des chats
J'espère que tu sera heureuse là-bas, car moi
Je ne pourrais pas aller là-bas avec toi


Puis des anciens

"Pourquoi tu pleure?
Est-ce que tu as peur?
Alors écoute cet air
Cet air qui a tout pour plaire
Ecoute et apprend
Que même dans ce mondede géants
Il existe des gens
Qui, petits ou grands,
Peuvent t'aider
A accepter ce chagrin que tu tente de cacher"
Voilà ce qu'elle te disait,
Cette fille dont les doigts de fée,
Couraient sur le bois
De sa flûte, même s'il fait froid
Aujourd'hui tu as grandie
Et ton chagrin d'antan s'est évanoui
Pourtant parfois...
On t'entend chanter tout bas
Ce petit air
Pour lequel tu avais acceptée de te taire
Et tu revois derrière tes paupières
Cette fille qui semblait faite de lumière
Peu après cette aventure,
Elle s'est évanouie dans la nature
Mais, à l'endroit où elle se tenait
Restait, comme un ultime souvenir
L'instrument qui t'avait fait sourir
La flûte dont ajourd'hui, après t'être éloignée,
Les jours de chagrins tu continue a jouer...





Nuit de pleine lune,
Nuit d'amertume,
Nuit de chagrin
Et d'espoirs vains
Nuit de pleurs
Nuit de peur
Pour une jeune fille solitaire
Perdue dans un désert








Je t'attends...
Reviens vite, je t'attend,
Et dis-moi pourquoi,
Pourquoi tu es partie sans moi
Oui j'ai peur
Peur que tu ne revienne pas
Oui je pleure
Parce que je n'ai que toi...
Je suis solitaire,
Pourtant tu as su me plaire
Alors pourquoi toi,
Toi ma seule amie
Pourquoi es-tu partie
Comme ça?
Aujourd'hui je suis seule
On dit derrière mon dos
"Elle est bizarre celle-là, toujours toute seule"
Et en entendant ces ragots
Parfois je pleure
Parfois j'ai peur
Peur que tu ne rentre pas
Peur que tu reste la-bas...


voilà deux ptits acrostiches^^ils sont nuls je sais...
Alors que dire sur toi, quel
Nom pourrais-je te donner ?
Tu es unique heureusement et
On en est content car tu es
Impossible à imiter, crois-moi
Nous on t’aime bien même si souvent tu es
Enervant ! Mais surtout, ne change pas !

A toi, oui à toi
La fille qui est en face de moi
Il n’yen a pas deux qui
Soient comme toi, tu es unique et
On voulait te le dire
Nous – moi en tout cas – on t’adore !


Petit poème que je dédie aux taraddictes du forum d'aziliz:

Je voulais, à vous mes amis,
Aujourd'hui dire merci
Qu'est-ce que je ferais sans vous?
Vous m'aider à tenir le coup
Vous me faites rire chaque jour,
Chaque fois, avec votre humour
Vous me remontez le moral quand j'ai du chagrin
J'espère que tout ça ne prendra jamais fin
Vous, les taraddictes, je vous adore,
Vous êtes vraiment les plus forts!



Petit poème pour Sophie Audouin-Mamikonian:

Ses doigts courent sur le clavier,
Elle a tant et tant d'idées,
Pour nous faire rêver
Et nous enchanter

C'est une fée de l'écriture,
Sous ses doigts naissent des aventures
Des pègases, des centaures, d'étranges créatures,
Qui prennent vie au cours de nos lectures
Qui sortent des livres
Et nous font peur ou nous font rire
En lisant ses livres, on peut s'évader,
S'enfuir, quitter la réalité
Se réfugier dans un monde inventé
Inventé, oui, mais où il fait si bon de rêver

Au côtés des héros
Découvrir des paysages nouveaux
S'envoler dans le ciel,
Penser "dieu que la vie est belle!"

Elle est la fée de l'écriture,
Elle nous ensorcelle le temps d'une lecture
Et un an durant nous fait attendre la sortie
Du prochain tome rempli de magie
Mais moi je voulais, en attendant,
Simplement dire "merci, Sophie Audoiun-Mamikonian"


Poème bizarre:
Si on construisait un pont
Par-dessus la mer
Si on cassait le mur du son
Pour faire face à l'hiver

Etrange poème
Qui ne veut rien dire
Oui mais moi j'ai quand même
Eu envie de l'écrire


Le droit d’oublier


Tu es arrivée en cours d’année
Tu étais perdue, déboussolée
Je t’ai accueillie
Et très vite tu étais mon amie

On a beaucoup partagé
On s’est dit pleins de secrets
Et puis à la rentrée
Tu as commencée à changer

Je ne demandais rien
Je pensais qu’on était amies
Et aujourd’hui, et bien
Je me rends compte que c’est fini

Tu as eu beau le nier
Pourtant c’était un fait
Fini les secrets
Fini les choses partagées

Avec ta nouvelle amie,
Impossible de parler
Tu l’invites à toutes nos sorties
Faut toujours que tu l’ai à côté

Je ne demandais rien
Je pensais qu’on était amies
Et aujourd’hui, et bien
Je me rends compte que c’est fini

On en a longuement parlée,
Je t’ai dis ce que je pensais
Mais tu n’as rien fait,
Mise à part me blesser

Tu m’as forcée à l’inviter
Tu es restée tout le temps à ses côtés
Et quand je suis partie pleurer
Tu ne m’as même pas cherché

Je ne demandais rien
Je pensais qu’on était amies
Et aujourd’hui, et bien
Je me rends compte que c’est fini

Tu n’es même pas venue t’excuser
Je n’ai eu qu’un message
Et quand après tu as continuée,
Ca m’a rendue folle de rage

Tu as fait des choses dans mon dos
Tu aurais dû me l’avouer
Plutôt que de me laisser espérer
J’aurais dû me dire que c’était trop beau

Je ne demandais rien
Je pensais qu’on était amies
Et aujourd’hui, et bien
Je me rends compte que c’est fini

Je te l’ai dit en face
Que j’étais dégoûtée
J’ai la rancune tenace
Mais là faut pas pousser

Ca n’a pas eu l’air de te déranger
Que s’en soit fini de notre amitié
Tu n’as même pas réagie
Et tu es retournée vers ta nouvelle amie

Je ne demande pas grand-chose
Juste le droit d’oublier
Je ne demande pas grand-chose
Qu’on était amies c’est du passé…


Pleurs

Dans la nuit
Résonne un cri
Cris d’enfants
Pleurs de parents
L’enfant dehors jouait
Quand l’homme passait
L’homme l’a entrainé
L’enfant se débattait
Les parents sont arrivés trops tard
Déjà l’homme disparaissait dans la nuit noire
L’enfant cria
L’homme le frappa
Mais quand l’enfant pleura
L’homme s’énerva
Un couteau étincelle
Pour voler jusqu’à la dernière parcelle
La vie de l’enfant innocent
L’homme se dresse, il est grand,
L’enfant a peur,
Mais il sèche ses pleurs
Se relève et s’enfuit
L’homme le regarde, ébahit,
Sa proie semblait facile, il avait baissé sa garde
L’enfant court et derrière lui regarde
Il court, encore et encore
De toutes les forces de son corps
L’homme réagit et se met à courir
L’enfant accélère, il ne veut pas mourir,
Devant lui il voit sa maison
Ses parents, la police, ils l’aideront
La mère se retourne au bruit de course
L’enfant en pleurs se jette dans ses bras
La mère l’embrasse, elle n’y croit pas,
Lui donne son ours
L’homme arrive et vers l’enfant continue de courir
Mais les policiers, ces hommes pince-sans-rire,
L’attrappent et l’arrêtent
L’enfant et sauvé, mais il a une dette
Les yeux de larmes embués
Il s’avance vers les policiers
Et d’une voix qu’on suppose ébranlée
Encore tremblant, il tient à les remercier
Ses parents se joignent à lui
Et une policière sourit
En voyant cet enfant marqué en profondeur
Elle le comprend, il a eu peur
Gentiment elle lui donne la main
La mère reconnaissante l’invite pour le lendemain
Le père soulagé lui propose de rester manger
La policière sourit et promet
D’essayer de passer
Mais le lendemain elle ne vint pas
L’enfant chagriné
Avec ses parents alla au comissariat
On lui apprit que la policière
Etait aussi la comissaire
Et qu’aujourd’hui, malheureusement,
Sa voiture avait heurté un chargement
D’un camion et qu’elle était
A l’hôpital, grièvement blessée
Les parents attristés
Voient l’enfant s’élancer
Vers l’hôpital du quartier
Il va vers les urgences où se trouvent les blessés
On lui indique un lit
Dans lequel la policière, le voyant lui sourit
Puis tourne la tête, ferme les yeux
L’enfant lui parle, elle n’entend pas
Elle a le visage couvert de bleus
L’enfant s’alarme, elle ne l’entend pas
Une infirmière arrive, alertée
Par les cris et voit la blessée
Inerte, sur le point de s’en aller
Sa vie sur le point de la quitter
Elle veut éloigner l’enfant
Mais il reste, protestant
Elle lui a sauvée la vie
Il voulait pouvoir lui dire merci
La policière se retourne et sourit
L’enfant pleure, l’enfant crie
Mais elle ferme ses yeux et s’endort
Pour ne plus se réveiller,
On veut écarter l’enfant, mais il est fort
De toutes ses forces il s’agrippe à la blessée
Il refuse de la quitter
Elle l’a aidé
Il lui doit la vie
Et devant ce visage qui sourit
Les yeux fermés à jamais
Les larmes de l’enfant coulent à flot
Ce petit garçon, dans le hall des urgences,
Marqua mon esprit, le marqua trop
Quand en arrivant en ambulance
Je le vis sanglotter
Sur le corps de la policière tant regrettée.

Je les connais, mais je le redis : ils sont tous beaux ! ^^

merki^^

De krien ! ^^